« Il faut changer ». Depuis qu’il y a crise,
le mot est sur toutes les lèvres. Le capitalisme
sauvage et triomphant est à l’heure
du bilan. Et il n’y a pas de quoi être fier.
Surtout que, cette fois, tout le monde en
prend pour son grade. « Changer »,
d’accord. Mais pour permettre une
nouvelle fois aux riches d’être plus riches
et aux pauvres de perdre encore
davantage ? L’appel essaie de
comprendre. Et de défricher des pistes...
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