On ne meurt plus comme hier. La mort est de moins en moins vécue
« à la maison ». Toutefois, on n’en est plus pour autant au constat de
« la mort escamotée », dressé il y a quinze ans.
Professeur d’anthropologie à l’UCL, Olivier Servais jette un regard
sur ces nouvelles façons de mourir.
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