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Edito

L’APPEL, MODE D’EMPLOI.

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Un début d’année est souvent signe de changement. L’appel n’y a pas échappé. Le lecteur attentif de notre numéro de janvier aura remarqué le changement de place, voire la disparition, de certaines de nos rubriques. Cela mérite quelques explications.

L’appel se veut magazine de l’actualité qui fait sens. Bien que mensuel, nous cherchons à coller aux événements et à les nourrir de notre regard. Non en pérorant à leur propos, mais en les éclairant de témoignages et d’avis de personnes rencontrées. Ce rapport à la "nouvelle– , et la manière dont nous l’appréhendons, constituent un des composants essentiels de notre ADN. Précédemment pourtant, nous ne plongions pas directement dans l’actualité dès le début du magazine. Nos premières pages étaient confiées à des chroniqueurs : le père Armand Veilleux, et des personnalités féminines du monde de la culture. Ce genre d’entrée en matière existe dans certains magazines. Mais il ne fait pas pénétrer de suite dans le vif de nos sujets.

L’organisation de nos pages fait désormais directement plonger dans l’actu, dès cet édito et notre sommaire terminés.

La séquence "Actuel– entame le cheminent. Avec un sujet "À la une– , accompagné du dessin de presse de Cécile Bertrand, et plusieurs articles "Signes– , porteurs de sens. Les brèves qui les complètent entendent, elles aussi, être révélatrices de ce qui se passe autour de nous.

Ensuite, la séquence "Vécu– , toujours consacrée à ce qui fait la vie du monde, se positionne de manière moins liée à l’actualité urgente. On y favorise le témoignage et la réflexion dans la grande interview "Rencontrer– et dans le commentaire d’événements qu’apporte désormais ici Armand Veilleux. On y va aussi à la rencontre la vie dans un reportage écrit ("Vivre– ) et
photographique ("Voir– ).

Notre troisième séquence fait pénétrer dans le monde des idées et de la pensée, avec la chronique de Gabriel Ringlet et l’apport des différents chroniqueu·r·euses de "Croire ou ne pas croire– . On y présente aussi des ouvrages parlant de spiritualité. L’un d’eux est détaillé dans la nouvelle page "Nourrir– . Enfin, développement personnel et spirituel sont abordés dans "Corps et âme– .

L’appel se clà´ture par une séquence culturelle, à la re- cherche de ce qui fait sens dans les médias (classiques ou numériques), le théâtre et le cinéma, puis dans la musique, les arts, le patrimoine. Nos dernières pages sont consacrées aux oeuvres littéraires, à un agenda et au courrier de nos lecteurs.

L’appel est ancré dans l’information que recueillent ses collaborat·eurs·rices. Hormis dans nos chroniques, nous ne recourons pas à des plumes extérieures et n’avons pas usage d’ouvrir nos colonnes à des textes soumis par des tiers. Parfois, ceux-ci ne manquent toutefois pas d’intérêt. Ils peuvent inspirer un article, mais L’appel ne peut se muer en une revue, nourrie de contributions diverses, non journalistiques.

Ces derniers temps, nos avons mis certains de ces textes en ligne sur notre site, ce qui leur a accordé une réelle visibilité, sans être parties intégrantes du magazine. Nous poursuivrons cette initiative, car l’avenir est à la publication de contenus spécifiques sur internet, que ceux-ci soient d’une autre nature que les articles du magazine, ou qu’ils les complètent, comme le fait déjà la rubrique en ligne "Les plus de L’appel– . Nos réseaux sociaux nous serviront à rendre ces publications plus visibles et accessibles.

Comme vous le voyez, L’appel a besoin d’un petit mode d’emploi pour pouvoir y accéder et pleinement l’apprécier...

Frédéric ANTOINE

Rédacteur en chef

Mot(s)-clé(s) : L’édito
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