Nommer pour grandir
Un nom oriente, évoque les circonstances d’une naissance, donne une mission. Dans la Bible, Léa choisit pour ses quatre premiers fils des prénoms qui témoignent de sa relation avec Dieu.
Un nom oriente, évoque les circonstances d’une naissance, donne une mission. Dans la Bible, Léa choisit pour ses quatre premiers fils des prénoms qui témoignent de sa relation avec Dieu.
Des lectures spirituelles
À la fin du baccalauréat de philo, l’université namuroise propose un cours, dispensé par Nicolas Monseu, pour sensibiliser à l’importance d’un dialogue entre la pensée occidentale et la pensée orientale dans le monde contemporain.
Dans son tout nouveau livre, Des rites pour la Vie, Gabriel Ringlet raconte quelques-unes des célébrations qui ont marqué son existence. Chacune est le fruit d’une rencontre qu’il considère comme un cadeau. À travers ces récits bouleversants, c’est aussi un art de célébrer qu’il dessine en creux, un art qui soigne et relève.
En solidarité avec d’autres ONG, l’association belge Hope fait acte de résistance en octroyant des bourses d’études et pour des formations à des jeunes de ce peuple de Terre sainte toujours pas reconnu.
Aujourd’hui âgée de 57 ans, Élina Dumont a eu un parcours de vie compliqué. Enfant abandonnée en bas âge, elle a vécu quinze ans dans la rue à Paris, avant d’être sauvée par le théâtre. Une sorte de résurrection. Elle a raconté cette expérience en 2013 dans un livre, Longtemps, j’ai habité dehors.
La fédération des Patros vient de célébrer ses cent ans. L’occasion de redécouvrir ce mouvement de jeunesse qui n’hésite pas à innover pour mieux rester fidèle à ses valeurs.
En parcourant le sommaire de ce numéro de septembre de L’appel, le lecteur fidèle ou attentif aura relevé de légères transformations : la page qu’assurait chaque mois le père Armand Veilleux n’y figure plus, de même que la rubrique “la philo de l’info” créée en septembre 2024, et une nouvelle rubrique y a vu le jour : “résister”. Trois changements qui méritent quelques explications et remerciements.
Au pays de l’autodérision, les Molons sont rois ! « En wallon, un molon désigne la larve du hanneton. Cette bestiole au vol saccadé se dit “balouge”. Et une balouge, c’est une personne un peu demeurée, maladroite », explique Dominique Liégeois, président de la Société Royale Moncrabeau. Partie intégrante du paysage wallon, Les 40 Molons sillonnent les fêtes populaires, les grands feux, les rendez-vous folkloriques… Parfois, en petite délégation, souvent au complet.
Ce 7 juillet, l’Église du Béguinage de Bruxelles était relayée, dans sa grève de la faim en soutien à Gaza, par une chapelle du centre de Gand. La communauté catholique ne peut rester les bras croisés, expliquent leurs deux prêtres.