En félicitant l’intendant malhonnête, Jésus veut provoquer un choc chez ses disciples, et même les retourner, afin de souligner la nouveauté radicale de son Évangile.
Comment le piéger ? Voilà leur obsession. Car c’est la guerre ouverte entre Jésus et ses opposants. Mais lui s’y connaît aussi pour mettre le feu aux poudres.
Mais où Dieu a-t-il appris à calculer ? Sûrement pas à l’Université de Louvain. Car le moins qu’on puisse dire, c’est que sa manière de compter n’est pas très catholique…
À travers son œuvre, Christian Bobin, récemment disparu, raconte l’Évangile à voix basse. C’est peut-être pour cela qu’on l’entend si bien. Une voix qui nous accompagnera encore longtemps.
Il est tellement bon que la Toussaint et le Jour des morts échangent leurs lumières, « comme la lune illuminée de face par le soleil », suggère Sylvie Germain.
Dès les premiers mots, Luc entraîne son public dans un récit populaire particulièrement contrasté. Une pièce en deux actes avec, face à face, deux personnages qui ne se parlent pas.
Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience sur notre site web. Nous ne revendons pas vos données, voir notre politique de confidentialité.