« Poète, prends ton luth et me donne un baiser », demande Alfred de Musset dans La nuit de mai. Dans la nuit de Noël, d’autres poètes, avec d’autres luths, nous donnent un baiser de paix.
Imaginez qu’un homme surgisse en plein débat télévisé, renverse les tables des invités et dise au présentateur médusé : « Enlevez cela d’ici ! » Quelle affaire dans le studio !
« Tout comme un cordonnier fait des souliers et un tailleur des habits, un chrétien doit prier : le métier de chrétien, c’est prier », disait un jour le réformateur Martin Luther.
Plutôt que le débat, qui tourne trop souvent à l’affrontement, ne faut-il pas privilégier le dialogue, c’est-à-dire la construction d’un terrain commun ?
Vous posez-vous souvent cette question ? Quelle est votre réponse ? Êtes-vous plongé.es dans la culpabilité, persuadé·e que vous n’êtes pas à la hauteur ? Ou êtes-vous, au contraire, convaincu·e de la justesse…
En félicitant l’intendant malhonnête, Jésus veut provoquer un choc chez ses disciples, et même les retourner, afin de souligner la nouveauté radicale de son Évangile.
Un nom oriente, évoque les circonstances d’une naissance, donne une mission. Dans la Bible, Léa choisit pour ses quatre premiers fils des prénoms qui témoignent de sa relation avec Dieu.
Certes, l’expression est dépassée. Reste que notre société valorise jeunesse et productivité plus qu’expérience et reconnaissance de nos vulnérabilités. Pas la Bible.
Dans un poème qui m’habite depuis plus de trente ans, Jean-Claude Renard raconte que « ce soir, les couleurs sont ivres ». Une ivresse que j’ai plaisir à vous partager sur mon…
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