Les méchants, on adore les détester

Les méchants, on adore les détester

Vous est-il arrivé d’être quasiment en état d’hypnose, totalement pris dans l’action d’un film ? Ou tellement accroché à la lecture d’un roman que vous n’avez pas été capable de lâcher jusqu’à sa dernière page ? Si vous analysez la mécanique mise en place par l’auteur pour vous tenir en haleine tout au long de son œuvre,…

Par

Publié le

26 septembre 2024

· Mis à jour le

26 février 2025
La chroniqueuse Josiane Wolff, souriant à la caméra, devant un fond en bois

Vous est-il arrivé d’être quasiment en état d’hypnose, totalement pris dans l’action d’un film ? Ou tellement accroché à la lecture d’un roman que vous n’avez pas été capable de lâcher jusqu’à sa dernière page ? Si vous analysez la mécanique mise en place par l’auteur pour vous tenir en haleine tout au long de son œuvre, vous y trouverez la plupart du temps au moins un méchant.

La suite de cet article est réservée aux abonnés.

Envie de lire la suite ?

Découvrez nos offres d’abonnement…
Vous aimez le contact du papier ? Vous aimez lire directement sur Internet ? Vous aimez les deux ? Composez votre panier comme bon vous semble !

Déjà abonné-e ? Se connecter
Partager cet article

À lire aussi

  • Photo de Nicolas Boubou cadrée aux épaules. Il porte des lunettes et une chemise bleu ciel, et il se tient devant un fond gris unis
  • Un oiseau tenant une feuille enflammée dans son bec
  • Une maitresse d'école debout derrière plusieurs enfants assis à leurs bureaux, tous souriants