Réconcilier le global et le local

Réconcilier le global et le local

« Où sommes-nous ? » Pour répondre à cette question, Maxime Blondeau a étudié l’“habitat commun” des humains, depuis la planète jusqu’à leur milieu. De cette observation est né « Géoconscience », un beau-livre enrichi de photos offrant une vision souvent inédite des territoires.

Par

Publié le

31 janvier 2025

· Mis à jour le

25 mars 2025
Photographie portrait de Maxime Blondeau devant un fond bleu

En ce premier quart du XXIe siècle, on ne regarde plus la Terre comme il y a cent, cinquante ou même vingt ans. Le réchauffement climatique, la disparition de la biodiversité, l’épuisement des ressources naturelles, la raréfaction de l’eau potable… sont devenus des problèmes majeurs qui posent la question de la survie de l’humanité. Au fil du temps, on est passé d’une conscience locale à territoriale, plus planétaire et, aujourd’hui, grâce aux médias numériques, à une pensée intégrale qui pourrait « réconcilier » les trois échelles de l’habitat que sont le monde, le territoire et le milieu. C’est cette nouvelle perspective qu’ambitionne de synthétiser l’anthropologue Maxime Blondeau dans Géoconscience, convaincu qu’« en se fermant à son propre milieu, l’humanité se détruit elle-même ».

La suite de cet article est réservée aux abonnés.

Envie de lire la suite ?

Découvrez nos offres d’abonnement…
Vous aimez le contact du papier ? Vous aimez lire directement sur Internet ? Vous aimez les deux ? Composez votre panier comme bon vous semble !

Déjà abonné-e ? Se connecter

Partager cet article

À lire aussi

  • Photo de la chroniqueuse Laurence Flanchon souriant à la caméra
  • Le chroniqueur Gabriel Ringlet, la tête posée sur la main, portant des lunettes et regardant la caméra
  • Romain Didier, accoudé sur une table en bois