Réconcilier le global et le local
Réconcilier le global et le local
« Où sommes-nous ? » Pour répondre à cette question, Maxime Blondeau a étudié l’“habitat commun” des humains, depuis la planète jusqu’à leur milieu. De cette observation est né « Géoconscience », un beau-livre enrichi de photos offrant une vision souvent inédite des territoires.
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En ce premier quart du XXIe siècle, on ne regarde plus la Terre comme il y a cent, cinquante ou même vingt ans. Le réchauffement climatique, la disparition de la biodiversité, l’épuisement des ressources naturelles, la raréfaction de l’eau potable… sont devenus des problèmes majeurs qui posent la question de la survie de l’humanité. Au fil du temps, on est passé d’une conscience locale à territoriale, plus planétaire et, aujourd’hui, grâce aux médias numériques, à une pensée intégrale qui pourrait « réconcilier » les trois échelles de l’habitat que sont le monde, le territoire et le milieu. C’est cette nouvelle perspective qu’ambitionne de synthétiser l’anthropologue Maxime Blondeau dans Géoconscience, convaincu qu’« en se fermant à son propre milieu, l’humanité se détruit elle-même ».
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