Vents mauvais pour l’audiovisuel public
Vents mauvais pour l’audiovisuel public
Est-ce parce que les médias publics coûtent cher aux finances des États qu’ils sont mis maintenant sous pression ? Ou parce que leurs choix politiques déplaisent aux nouvelles majorités ? Ou encore parce que celles-ci entendent plutôt favoriser l’audiovisuel privé ?
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En Fédération Wallonie-Bruxelles, le nouveau gouvernement compte mettre la RTBF au régime, tout en réduisant ses programmes sportifs et de divertissement. En France, s’il était arrivé au pouvoir, le Rassemblement national avait l’intention de vendre l’audiovisuel public au plus offrant. En Grande-Bretagne, en cinq ans, la BBC aura licencié deux mille personnes et s’interroge sur son financement. En Italie, la RAI semble de plus en plus sous la botte de la majorité d’extrême droite de Giorgia Meloni, tandis qu’en Slovaquie, le gouvernement a entrepris de refonder l’audiovisuel public pour le mettre à son service…
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