Le consentement est une philosophie

Le consentement est une philosophie

Nous avons souvent tendance à projeter nos préférences sur les autres.

Par

Publié le

26 février 2025

· Mis à jour le

26 février 2025
La chroniqueuse Josiane Wolff, souriant à la caméra, devant un fond en bois

Contrairement à ce que nous pourrions croire, le consentement n’est pas qu’une affaire de sexe. Il fait partie de notre quotidien. Il est troublant de constater à quel point nous disons OUI alors que notre esprit et notre cœur hurlent NON. Est-ce par habitude, ou pour éviter un conflit ? Parce qu’il semble plus facile d’acquiescer que de se justifier ? Ou encore parce que nous voulons prouver notre bonne volonté ou notre obéissance à des attentes sociales implicites ?

Pour faire un parallèle, demandons-nous aussi combien de fois nous prenons des décisions à la place d’un proche sans même lui demander son avis. Nous nous disons : « Ça va lui plaire, c’est sûr. » Mais est-ce vraiment le cas ? À chaque fois que nous présumons ce que l’autre veut, nous lui enlevons la possibilité d’exprimer ses propres besoins, ses propres limites. Et si, lui non plus, ne savait pas dire NON ?

La suite de cet article est réservée aux abonnés.

Envie de lire la suite ?

Découvrez nos offres d’abonnement…
Vous aimez le contact du papier ? Vous aimez lire directement sur Internet ? Vous aimez les deux ? Composez votre panier comme bon vous semble !

Déjà abonné-e ? Se connecter
Partager cet article

À lire aussi

  • capture_d_ecran_notre_jardin_2021-04-23.jpg
  • Une feuille posée sur un livre ouvert, lui même posé sur les genoux de quelqu'un, assis avec une tasse dans les mains
  • Lou, les mains posées sur la tête, devant des arbres